Table-ronde « Psychanalystes dans un foyer de demandeurs d’asile »
Le 24 mars 2018 à Dijon
Intervention de Mireille Faivre
Intervention d’Odette Puechavy
Intervention d’Annette Jourdain
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Journées de Dinard du Cercle freudien
Les 23 et 24 septembre 2017
Qu’est ce que l’institutionnel analytique
Programme
(Certaines des interventions sont lisibles en ligne. Pour y accéder cliquer sur le titre)
Monique TRICOT : Pourquoi nous associer
Gilles MONCHICOURT : Malaise dans le groupe de la négligence dans la psychanalyse au déclin dans la société
Pierre BOISMENU : Association et transfert
Michel HESSEL : Une discipline de l’incalcul
Jean-Mathias PRÉ-LAVERRIERE : Qu est-ce qu une institution instituante
Nora MARKMAN : Plus value
Daniel WEISS : Le Cercle freudien une association circulaire
Jean-Jacques BLEVIS : De la formation et de l’enseignement au Cercle freudien
Françoise DELBARY-JACERME : a minima
Jean-Yves BROUDIC : Quelques mots a partir d’entre temps
Richard BRODA : Incidences de la théorie psychanalytique sur le psychanalysant
Marc-Leopold LEVY : L’institution analytique, un nécessaire lieu de perdition.
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Journée d’étude
AVEC QUOI ANALYSE-T-ON
Le travail et les inventions d’Olivier Grignon
le samedi 13 mai 2017
92 bis, boulevard du Montparnasse 75014 Paris
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Pour lire certaines des contributions des intervenants pour cette journée d’étude cliquer ci-dessous :
Journée d’étude « Avec quoi analyse-t-on ? » – Actes
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JOURNÉE D’ÉTUDES « PAS SANS LACAN… MAIS ENCORE… »
Le 12 mars 2016 avait lieu au Cercle freudien, à l’initiative de Philippe Beucké et du Conseil d’administration une journée d’études intitulée « Pas sans Lacan… mais encore… ».
On pourra lire (en cliquant sur le titre quand il est souligné) certaines des contributions des intervenants lors de cette journée.
Philippe Beucké. Pas sans Lacan…mais encore…
Danièle Lévy. Lacan Clinicien
Alain Deniau. Lire Freud depuis Lacan, construction de la fécondité de l’interstitiel.
Annick Galbiati. Se donner le temps de lire Lacan
Christophe Scudéri. Reinventons Lacan
Jacques Benroubi. Hommage a la transmission et à l’enseignement de J.Lacan.
Daniel Weiss. A negative enough transference
Françoise Delbary-Jacerme. Lire Lacan un atelier infini
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Après-midi de travail
PRATIQUES ANALYTIQUES AVEC LES ENFANTS
À PROPOS DU LIVRE ESPACES DE PAROLES
Le livre collectif, Espaces de paroles sous la direction de Franck Chaumon (éd. èrès) témoigne de la pluralité, de la pertinence et de la vitalité des pratiques orientées par la psychanalyse à l’heure où celle-ci est tellement décriée.
Autour de cet ouvrage, nous vous proposons un temps de rencontres et de débats entre auteurs et membres du Cercle freudien engagés dans le travail avec les enfants.
Le samedi 21 mai de 14 h 30 à 18 h.
Au local du Cercle freudien 10, passage Montbrun 75014 Paris
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Après-midi de travail
PRATIQUES ANALYTIQUES AVEC LES ENFANTS
À PROPOS DU LIVRE
« L’ENFANT LE MÉDECIN ET LE PSYCHANALYSTE »
sous la direction de MARIE-THÉRÈSE FRITZ et MONIQUE TRICOT
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Après-midi de travail
À partir des Variantes de la cure-type
le samedi 6 Avril 2013
Organisé à l’initiative de Philippe Beucké
Le samedi 6 Avril 2013 à 14h30
10, Passage Montbrun 75014 Paris
« Une psychanalyse, type ou non, est la cure qu’on attend d’un psychanalyste ». Évidence ironique qui néanmoins suppose qu’il y ait un psychanalyste. Si Variantes de la cure-type est un texte de technique psychanalytique, Lacan clinicien s’intéresse aux « voies du vrai psychanalyste ». Question toujours actuelle, puisque c’est au prix d’ignorer ce qu’il sait, rompant donc avec un savoir constitué que l’analyste répondra de son acte. Relire aujourd’hui ce texte, c’est dans les pas de Lacan soutenir la psychanalyse dans sa spécificité et dégager la dimension éthique que ce texte recèle.
Philippe Beucké
PROGRAMME
- Philippe Beucké, « Variantes et varité. De l’actualité d’un texte ».
- Okba Natahi, « Laisser l’initiative aux mots ».
- Robert Montrelay « Chaîne des paroles et destin du sujet ».
- Nora Markman. « Les Variantes » à la lumière de la psychanalyse avec des enfants.
- Patrick Belamich : « Direction de (variante de) la cure (type) ».
- Cécile de Ferrières : « Il faut se faire en commençant ».
Modératrice : Maryse Martin
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Débat autour du livre collectif : « La portée de l’ombre. »
de Michèle MONTRELAY
Le 20 janvier 2010
Débat autour du livre collectif : La portée de l’ombre.
Le texte « Sentir » nous invite à revenir à « L’esquisse ». Pour penser l’appareil psychique tel qu’il se met en place et s’organise dans les tout débuts, Freud propose le modèle du frayage. Dans le système neuronique, nous dit-il, des chemins s’ouvrent, préférentiels, en raison de l’intensité et de l’insistance de certaines excitations, d’ordre sensoriel pour l’essentiel.
Quand et comment ? Dès le temps fœtal. J’insiste sur le fait que l’excitation ainsi mémorisée n’a pas une mais au moins deux sources, l’une infantile, l’autre maternelle.
Nous analystes, dans notre écoute, nous avons donc à compter avec ces deux registres, l’un et l’autre constitutifs de l’inconscient. Le premier, c’est celui que Freud et Lacan ont rendu familier. C’est l’inconscient « structuré comme un langage », où des suites d’éléments discrets (ou signifiants) agencés par métaphores et métonymies résultent du refoulement. Le second registre concerne les traces dites par Freud « mnésiques ». Corporelles autant que psychiques (puisque affectives), elles s’organisent en fonction des invariants propres à la vie fœtale. À ce titre irreprésentables elles demeurent la vie durant. On les souffre, on les expérimente soit comme troubles psychosomatiques, soit – surtout – comme autant d’affects insistants, énigmatiques. Mais précisons : on les souffre, on les expérimente, sans qu’on le sache, à plusieurs. L’autre et soi dans ces affects s’interpénètrent, flottent ensemble. D’où le concept de « champ flottant » : mémoire qui s’enfonce loin dans le temps.
Qu’en est-il dans une cure du statut de ces deux champs ? Nous sommes régulièrement confrontés à leur clivage. Notre tâche n’est-elle pas de les mettre en tension, de faire que, tout en respectant leur hétérogénéité, nous puissions faire qu’entre eux une parole fasse trait ? Que le temps d’un éclair ça se sépare et ça passe à la fois ?
Autant de questions déployées à propos du cas de Stella dans le texte « Interpréter ». Les hypothèses théoriques n’ont d’intérêt que mises à l’épreuve de la clinique. Nous souhaiterions poursuivre en ce sens dans notre débat.
Président de séance : Olivier GRIGNON
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