Le féminin, cet au-delà du phallique, "mystère plus lointain que l'inconscient"(A. Didier-Weil), se partage entre les hommes et les femmes. Mais si le phallus représente le sexe autant pour les hommes que pour les femmes, qu'en est-il du phallique côté homme, de ce masculin réservé aux hommes ? Comment parler de cette dissymétrie sans comparaison grossière ?Par quelles voies le "petit porteur de pénis", comme disait S.Freud, en vient-il à "s'incarner dans le génie de son sexe", comme disait F. Dolto ?
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