Olivier GRIGNON
Trop mais pas trop…
Lecture de Dominique Bertrand

Colloque d’Insistance, le 21 janvier 2006.

 

 

 

Trop, mais pas trop…

Lecture de Dominique Bertrand.

Olivier Grignon

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J’en suis venu à parler du génie et de son essence,
dans tous les cas influencée par le démoniaque.
T. Mann, Le docteur Faustus
J’ai confié l’article de Dominique Bertrand, Penser la musique : la part du diable, à un ami qui n’est pas psychanalyste, mais qui a fait une longue psychanalyse. C’est aussi un excellent pianiste de jazz amateur. Depuis qu’il l’a lu, il en parle beaucoup, et m’adresse une question insistante (je suppose que cette question le touche intimement) : en quoi cet article peut-il bien concerner les psychanalystes ?… Je vais essayer aujourd’hui, devant vous, de lui répondre.

Parler du travail de D. Bertrand comme psychanalyste, spécifiquement comme psychanalyste, est une tâche ardue. D’abord et avant tout parce que plus qu’un article, c’est déjà un livre.

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Trop masi pas trop